Ô Mère bien aimée, malgré ma petitesse Comme toi, je possède en moi, le Tout-Puissant
Et je ne tremble pas en voyant ma faiblesse
Le trésor de la mère appartient à l’enfant
Et je suis ton enfant,
Ô ma Mère chérie
Tes vertus, ton amour,
Ne sont-ils pas à moi ?
Aussi lorsqu’en mon cœur, descend la blanche Hostie
Jésus, ton doux agneau croit reposer en toi